Le 1er-Mai des femmes de chambre : « Le collectif est le terreau fertile de la révolte »

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En ce 1er mai 2024, à l’occasion de la sortie du film « Petites Mains », de Nessim Chikhaoui, Mediapart met en lumière le sort de travailleuses que les patrons voudraient rendre totalement invisibles : les femmes de chambre.

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1 mai 2024 à 12h51

DansDans les hôtels, elles se faufilent dans la plus grande discrétion. Elles rangent, nettoient, trient, repassent pour le compte de sociétés sous-traitantes, dans des établissements luxueux ou plus bas de gamme, avec toujours les mêmes problématiques : des salaires très bas, des moyens matériels insuffisants pour bien faire leur travail, une déconsidération totale. Au domicile du patron, elles cumulent toutes les tâches domestiques : du ménage à la garde d’enfants. 

En ce 1er mai 2024, Mediapart met en lumière le sort des femmes de chambre, à l’occasion de la sortie du film Petites Mains, de Nessim Chikhaoui. Le film du réalisateur engagé raconte, dans le menu détail, le combat de femmes de chambre d’un palace parisien contre la sous-traitance. 

L’émission de Mediapart avec :

  • Khadija Demontreuille,femme de chambre dans un hôtel parisien pour le compte d’un sous-traitant ;
  • Maïmouna Gueye, actrice du film Petites Mains ;
  • Alizée Delpierre, sociologue, chargée de recherche au CNRS et autrice de Servir les riches. Les domestiques chez les grandes fortunes.

Retrouvez toutes nos émissions en accès libre.

https://www.mediapart.fr/journal/economie-et-social/010524/le-1er-mai-des-femmes-de-chambre-le-collectif-est-le-terreau-fertile-de-la-revolte

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