Le samedi 9 mars a lieu une chaîne humaine pour l’arrêt du nucléaire civil et militaire et la transition énergétique tout autour de Paris.
dimanche 3 mars 2013
Une chaîne humaine à Perpignan le 9 mars
RDV place de la république à 10 h samedi 9 mars à Perpignan
Une chaîne humaine humaine : pour l’arrêt du nucléaire civil et militaire et la transition énergétique tout autour de Paris pour symboliser la volonté des habitant-e-s de reprendre en main leur avenir énergétique,
Cette chaîne encerclera les lieux où se prennent les décisions politiques et économiques sur le nucléaire : ministères, sièges d’Areva et EDF…
Le coût d’un accident : Une étude de l’IRSN estime à 430 milliards d’euros le coût d’un accident nucléaire majeur. Coûts radiologiques, pertes touristiques, contamination.Tous les impacts d’un accident ont été pris en compte.
L’impact économique d’un accident dépend en effet largement du lieu d’implantation de la centrale (densité de population, économie locale… et des conditions météorologiques. Un tel accident mettrait la totalité du pays complètement à genoux. L’accident à Fukushima est estimé pour l’instant à 186 milliards d’euros, il est toujours en cours et c’est aux contribuables japonais de payer !
La transition : A l’heure du Débat National sur la La transition Transition Énergétique lancé par le gouvernement , la France reste le royaume de l’atome. Pourtant, notre pays peut se passer de cette technologie aussi dangereuse que coûteuse. Économies d’énergie, efficacité énergétique, énergies renouvelables. les solutions existent , peuvent créer des centaines de milliers d’emplois et nous sortir de ce risque permanent !
Qu’il aboutisse ou pas à un changement de cap profond des politiques nationales, le débat national sur la transition énergétique est un espace de réflexion pour mieux comprendre les enjeux et les différentes solutions préconisées. Nous invitons toutes les personnes responsables à s’emparer de ce moment politique, derrière ce débat se profile un choix de société.
Citoyennes, citoyens anti nucléaires 66
Publié par sylvain guerin
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