Hier les fonctionnaires étaient appeler à se mobiliser, le 7 février c’est au tour des organismes sociaux. Dans quelques jours, peut-être, la SNCF et puis plus tard EDF etc.
Ça recommence comme pour la contre réforme des retraites. Les états majors syndicaux, qu’il faut bien distinguer de la base des syndiqués, créer l’illusion de la défense des salariés. Tout est fait pour éviter une convergence des revendications et une coordination des luttes.
Le constat que l’on peut faire et que, évidemment, la masse des salariés n’est pas au rendez-vous.
Et pour cause!
Appeler à des mobilisations, secteur par secteur, est le meilleurs moyen de démotiver l’engagement des salariés. Car perdre une journée de salaire, alors que l’on sait que cette mobilisation restera sans lendemain, est une explication qui se justifie.
Cependant, on constate aussi, que malgré tout, des résistances voient le jour dans plusieurs secteurs de l’économie. Les luttes des travailleurs, à la base, avec leurs sections syndicales, s’affrontent avec leurs directions pour défendre leurs revendications. Quelques fois, ils font reculer leurs exploiteurs, notamment dans le nettoyage. Un des secteurs les plus difficile à organiser.
L’heure est bien sûr à la mobilisation!
Mais en œuvrant à la recherche d’un dénominateur commun en vue de créer un rapport de force favorable à l’ensemble des travailleurs.
Nous devons construire la grève générale, seul moyen efficace contre le capitalisme, en coordonnant nos combats, actuels et futurs, qui nous mèneront vers des luttes victorieuses.
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