Après avoir attendu près de deux ans, le Tribunal de grande Instance de Perpignan vient de fixer une date d’audience.
C’est donc le 9 novembre à 9h que se tiendra l’audience, sur le fond, du TGI où, Me Jean-Pierre JOSEPH et son avocate postulante, Me Caroline DA LUZ SOUSA, représenteront les 108 requérants qui ont assigné ENEDIS.
Notamment, pour faire respecter le droit de refus aux compteurs/capteurs Linky, celui-ci n’étant pas obligatoire. Mais également pour diverses infractions à différents codes, qu’ENEDIS pratique allégrement en contradiction avec les textes législatifs.
Malgré la situation sanitaire actuelle, nous demandons aux usagers de l’énergie électrique ainsi que tous les citoyens concernés par le respect des libertés et de l’état de droit, de venir exprimer, par leur présence leur solidarité avec ces plaignants ainsi qu’à leurs soutiens.
Les compteurs communicants préfigurent, par leur technologie, associée à la 5 G, dont on veut nous imposer le déploiement, à une société supra connecté et totalement déshumanisée.
Nous ne sommes ni des Amish, ni de sombres complotistes, nous ne sommes pas pour le retour à la lampe à huile, comme certains voudraient le faire croire. Mais simplement des humains qui veulent vivre sur une planète où l’on respecte la vie, la biodiversité et vivre tout simplement en harmonie avec notre environnement.
Nous rappelons que le compteur/capteur Linky est la 1ère brique du système 5G. Les effets de cette technologie vont contribuer largement au réchauffement climatique de par la connexion exponentielle des objets connectés. La consommation électrique nécessaire au fonctionnement de ces objets, justifiera la construction de nouvelles centrales nucléaires comme le réclame déjà EDF.
Sans compter sur les effets néfastes des ondes électromagnétiques sur notre santé, que produisent le CPL (courant porteur en ligne) du système Linky et les antennes de la 5G (une tous les 100m en milieu urbain)
Soyons nombreux devant le Palais de Justice, place Arago, dans le respect des consignes sanitaires, pour exprimer notre attachement à la liberté de choix des équipements de nos domiciles.
Après avoir attendu près de deux ans, le Tribunal de grande Instance de Perpignan vient de fixer une date d’audience.
C’est donc le 9 novembre à 9h que se tiendra l’audience, sur le fond, du TGI où, Me Jean-Pierre JOSEPH et son avocate postulante, Me Caroline DA LUZ SOUSA, représenteront les 108 requérants qui ont assigné ENEDIS.
Notamment, pour faire respecter le droit de refus aux compteurs/capteurs Linky, celui-ci n’étant pas obligatoire. Mais également pour diverses infractions à différents codes, qu’ENEDIS pratique allégrement en contradiction avec les textes législatifs.
Malgré la situation sanitaire actuelle, nous demandons aux usagers de l’énergie électrique ainsi que tous les citoyens concernés par le respect des libertés et de l’état de droit, de venir exprimer, par leur présence leur solidarité avec ces plaignants ainsi qu’à leurs soutiens.
Les compteurs communicants préfigurent, par leur technologie, associée à la 5 G, dont on veut nous imposer le déploiement, à une société supra connecté et totalement déshumanisée.
Nous ne sommes ni des Amish, ni de sombres complotistes, nous ne sommes pas pour le retour à la lampe à huile, comme certains voudraient le faire croire. Mais simplement des humains qui veulent vivre sur une planète où l’on respecte la vie, la biodiversité et vivre tout simplement en harmonie avec notre environnement.
Nous rappelons que le compteur/capteur Linky est la 1ère brique du système 5G. Les effets de cette technologie vont contribuer largement au réchauffement climatique de par la connexion exponentielle des objets connectés. La consommation électrique nécessaire au fonctionnement de ces objets, justifiera la construction de nouvelles centrales nucléaires comme le réclame déjà EDF.
Sans compter sur les effets néfastes des ondes électromagnétiques sur notre santé, que produisent le CPL (courant porteur en ligne) du système Linky et les antennes de la 5G (une tous les 100m en milieu urbain)
Soyons nombreux devant le Palais de Justice, place Arago, dans le respect des consignes sanitaires, pour exprimer notre attachement à la liberté de choix des équipements de nos domiciles.
Commentaires récents